Martin Garrix revient sur ses dates françaises de l'été 2019

L'été dernier, Martin Garrix était de passage dans notre pays pour plusieurs dates en festival. Dans le dernier épisode de sa série Youtube, le DJ alors blessé revient sur ses prestations françaises dans le cadre de son Anima Europe Tour.

La France : terre réparatrice ?

Cela faisait exactement trois ans que Martin Garrix n'avait pas posé ses platines à Paris (la dernière fois c'était pour la Fun Radio Ibiza Expérience en 2016). Heureusement, Lollapalooza Paris a remédie à cela l'année dernière. Arrivé sur une jambe à cause de sa chute en mai à Las Vegas mais accompagné de ses parents, Martin Garrix a assuré le show d'une main de maître.



Par la suite, le DJ s'est rendu aux Vieilles Charrues où il a été réveillé par les vocalises de Clara Luciani. Le producteur de "Byte" a profité du moment qu'il avait avant son concert pour nous raconter l'étonnante anecdote de sa rencontre avec Osrin. Peu de temps avant son show, Gabe Fraboni, réalisateur du show nous explique toute la logistique derrière celui-ci et les exigences de Martin Garrix. Ce dernier pour la première fois depuis son accident aura assuré un concert sur ses deux jambes. Alors, la France, terre réparatrice ? Pas si sûr puisque Martin aura réussi tout de même à se blesser. On vous laisse découvrir tout ça ci-dessous.


On vous remet aussi le précèdent épisode du Martin Garrix show où le DJ revient sur sa date au Main Square Festival dans la Citadelle d'Arras. Un moment unique où Macklemore est venu interpréter "Summer Days". Bon visionnage !


En définitive, il semblerait que Martin Garrix apprécie grandement la France. Et je pense sans trop m'avancer que la France apprécie grandement Martin Garrix. Preuve en est, chaque année, il fait au moins deux dates chez nous. D'ailleurs, il sera de retour chez nous pour plusieurs shows dès mars prochain. Et, pour ceux ayant raté son concept Anima, ils pourront se rattraper à la Fête du Bruit dans Landerneau, Garorock ou au Cabaret Vert.

Crédit Photo : Couv : Louis Van Baar / Corps : Sébastien Leconte

Article rédigé par Alban Sauty