La nuit tombe, les lanternes s'allument et les monstres font leur apparition. Bienvenue à la première des deux soirées d'Halloween organisées par Disneyland Paris. Notre reporter Alban s'est plongé dans cette atmosphère mystérieuse et vous raconte sa soirée.
Une arrivée en fanfare
Arrivés aux abords du Parc vers 21h, je récupère mon pass et m'installe près du château pour suivre le début de la parade spécialement conçue pour les soirées Halloween. De nombreux chars déambulent dans les allées avec à leur tête les mythiques personnages de
Disneyland : Minnie et Mickey ouvrent la marche et ce sont les "méchants" qui suivent comme Ursula de la Petite Sirène et La Reine de Blanche-Neige.
Tout ce petit monde est précédé par des danseurs qui animent la parade. Cette dernière se déroule avec en toile de fond le château de la Belle au Bois Dormant sur lequel est projeté un mapping.
Je prends le chemin de
Discoveryland où quelques attractions comme celle avec Buzz L'Eclair sont ouvertes. Nous découvrons aussi la zone soirée où Dingo et Max jouent avec les platines devant une foule de curieux.
Sensations fortes et épouvante
Direction Frontierland pour mon attraction préférée : Big Thunder Mountain. Après une petite demi-heure d’attente j'atteins les wagons et pars dans une aventure dans les mines d’Amérique du Nord. Le parcours mélangeant intérieur et extérieur permet une vue imprenable sur le Parc d’où j'aperçois la maison hantée.
Un mapping de belle qualité était organisé sur la façade de celle-ci. Nos amis sont un peu inquiets. Au final pas de grande frayeur étant donné que le parcours se veut familial.
Non loin de là, une deuxième soirée reprend le thème de la fête des morts. Ayant fait le tour de
Frontierland et
Adventureland je repars en direction de
Discoveryland pour me restaurer. Sur le chemin je croise de nombreuses personnes déguisées avec des tenues plus ou moins effrayantes.
Je teste Star Tours : L’Aventure Continue. Une belle expérience dans l’univers galactique de Star Wars vécue par procuration de lunettes 3D. Suite à cette épopée je pars au
théâtre Vidéopolis où j'opte pour un menu Halloween à 16,99 €. Je me délecte de mon hamburger et de ma mousse chocorifique devant le spectacle du Capitaine Crochet.
Place à un autre type de spectacle puisque c’est
Mike Williams qui fait son apparition sur la scène de
Discoveryland avec une intro amusante basé sur le concept d’ADN.
S’en suit un set d’1h30 où il reprend ses morceaux comme "Wait Another Day", "I Got You" et "The Beat".
Les visuels sont travaillés et le DJ fait même monter sur scène des fans arborant un drapeau à son effigie. Distribuant casquettes et merchandising, il fédère la foule qui assez logiquement ne connaît pas
Mike Williams. Cependant l’ambiance est bien présente et
Mike Williams arrive à faire danser les plus discrets.
En effet, Mike adapte son set en y intégrant quelques B.O de
Disney comme celle du Roi Lion ou de Pirates des Caraïbes. Un set énergique ponctué par quelques jets de confettis, de bulles et de CO2.
Enfin, on retiendra un moment marquant lorsque le producteur nous dévoile son nouveau titre « Dynamite » en collaboration avec
Nicky Romero et Amba Shepperd. Un titre qui sera probablement à retrouver dans notre news des sorties de la semaine ce dimanche.
Très proche de sa communauté,
Mike Williams part à la rencontre de quelques admirateurs à la fin de son concert. Nous quittons le parc sous les coups de 2h du matin.
Conclusion
C’était une première pour moi de fêter Halloween à
Disneyland. L’expérience fut intéressante et je la recommande aux familles qui ont
l’opportunité de tenter l’aventure. Attractions, parade, spectacles, il y’en a pour tous les goûts et pour tous les âges.
La présence d’un DJ est aussi appréciable pour clôturer la soirée. Après
Mike Williams c’est le duo
Ofenbach qui prendra possession des platines de
Discoveryland ce 31 octobre. Enfin, je tiens à souligner le travail des lighteux, des costumiers, des danseurs et de toute les personnes qui ont participé à la bonne tenue de l’évènement.
Crédit Photo : Alban Sauty
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Article rédigé par Alban Sauty
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