Eric Prydz, c’est Epic, Holo, des soirées lunaires dans tous les grands festivals de la planète, une discographie impressionnante, et un nom respecté par tous, peu importe la préférence musicale. Il y a 14 ans, l’image et le respect étaient déjà présents, mais c’est en soirée à Tours qu’on pouvait le croiser !
Eric Prydz est aujourd’hui un des principaux noms de la scène Electronique internationale. Sa présence en Europe est rare, et encore davantage en France. Son style et son univers sont parfaitement reconnaissables, et ses shows sont des bijoux pour les yeux autant que les oreilles. Pourtant, avant tout ça, nous avions déjà eu l’occasion de l’accueillir, dans un lieu pourtant improbable : La salle Oesia, salle de spectacles en périphérie de Tours.
En avril 2007, le suédois est l’affiche principale de la soirée
Electroflore. Un événement nouveau qui accueillera quelques centaines de spectateurs, dont la plupart découvriront
Eric Prydz d’ailleurs. La soirée, à laquelle j’ai eu la chance de participer, se déroulera parfaitement, mais dans une ambiance particulière, où il était davantage question d’observer et d’écouter que de faire la fête. La jeunesse et la timidité ?
A une époque où les technologies ne sont pas les mêmes, c’est un jeune
Eric Prydz qui vient donc s’exprimer, avec ses sacs de Cds. Pourtant, on peut déjà admirer une technique parfaitement rodée, et un environnement musical affirmé.
Et toujours un énorme frisson pour ce quatrième extrait, mêlant cette fameuse technique à 2 tracks phénoménaux : le remix de
Arno Cost & Arias -
Magenta par
Axwell, et surtout le classique remix de
Paolo Moko -
1983, par
Pryda lui-même !
Deux ans plus tard, de mémoire, Electroflore recevait une autre légende : Monsieur
Kevin Saunderson !
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Article rédigé par Johann
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