Si tout le monde est d'accord pour dire que l'esprit d'Ibiza a changé depuis de nombreuses années, pour bon nombre de DJs, dont les trois pointures ci-dessous, l'Ile Blanche restera toujours un lieu à part...
"
L'ile ne cessera jamais d'être belle quelques soient les changements dans la scène électronique. A Ibiza, il y a toujours le choix, toujours un endroit pour s'évader ou pour danser. Elle sera toujours spéciale pour moi. Les jeunes fêtards continuent de venir parce que les meilleurs DJs du monde jouent ici, et les jeunes fêtards c'est ce qui attire ces DJs.
Les danseurs voteront avec leurs pieds. Il ne faut pas les sous-estimer. Je ne peux pas parler pour le reste de l'ile, mais à Cocoon on s'assure qu'il y ait un équilibre. Sans une foule heureuse et passionnée, vous n'avez pas d'évènement. Je n'arrêterai jamais d'être inclusif parce que pour moi c'est ça Ibiza."
"
Ibiza reste un hotspot multiculturel, ou une Mecque si vous voulez, pour tous les types de fans de musique électronique. Ibiza compte pour les fans parce que c'est la combinaison entre un bel environnement avec des fêtes non-stop dans des lieux légendaires. Même si c'est devenu de plus en plus commercial ces dernières années, il y a de grosses infrastructures pour supporter les millions de voyageurs chaque année, et c'est quelque chose sur lequel d'autres destinations ne peuvent pas en dire autant."
"
Je joue à Ibiza depuis 10 ans et j'y ai ma résidence Rumors depuis depuis 4 années. Ibiza a une importance dans la carrière d'un DJ, c'est là où les meilleurs artistes vont jouer des sets de classe mondiale et où les publics sont très connaisseurs. C'est super d'avoir plein d'amis sur l'ile en même temps quand vous êtes en tournée. Même après toutes ces années, l'ile a toujours cet esprit sauvage que vous ne retrouvez nul part ailleurs. J'espère que les gens ressentent cela quand ils viennent à mes évènements."
Propos traduits à partir de l'article du site Mixmag
disponible en Anglais ici.
 |
Article rédigé par Olivier Brilleau
|
Sven Vath
Luciano
Guy Gerber
